Il avait atterri nu, hilare, comme un animal qui ne comprenait pas encore les lois du monde. Crash ramenait toujours des choses étranges, mais là… Coco n’avait jamais vu ça. L’homme se baladait, content, détendu, et son sexe passait devant elle, flasque, curieux, presque affectueux. Elle ne bougea pas. Elle observa.
Le gland effleura sa joue. Puis ses lèvres. Elle soupira. Puis, sans trop réfléchir, elle donna un petit coup de langue. Juste un. Puis un autre. Puis plusieurs, de plus en plus lents. Le sexe durcit. Il se redressa lentement, gonfla sous sa bouche. Coco ne bougeait pas, bras toujours croisés, visage calme. Elle s’inclina un peu, embrassa une fois la base, juste là où la peau se plisse. Un bisou court. Propre.
Et là, sans cri ni annonce, il éjacula. Des jets lourds tombèrent sur le plancher, à ses pieds. Coco resta immobile, presque lasse. Elle regarda les gouttes s’écraser entre deux lattes. Puis releva les yeux, légèrement amusée :
« …bon, on va dire que t’es intégré, maintenant. »
He’d landed naked, giggling like some animal unaware of the world’s rules. Crash always brought back strange things, but this… Coco had never seen anything like it. The man wandered around, happy, relaxed, and his cock swung past her face — soft, curious, almost affectionate. She didn’t move. She observed.
The tip brushed her cheek. Then her lips. She sighed. Then, without much thought, she gave a little lick. Just one. Then another. Then a few more, slower. The shaft stiffened, rose slowly, swelling near her mouth. Coco didn’t move, arms still crossed, face calm. She leaned slightly forward and kissed the base once, right where the skin folded. A short, clean kiss.
And then, without warning, he came. Heavy spurts landed on the floor at her feet. Coco didn’t flinch — almost tired. She watched the drops splatter between the floorboards. Then lifted her eyes, mildly amused, and said:
“...alright. Let’s say you’re part of the team now.”