Dingodile était posé au soleil, sa machine à griller les caisses branchée, les couilles à l’air comme si c’était normal. Coco voulait accéder aux gemmes derrière lui. Il avait haussé les épaules : “Tu sais ce que je veux, fillette.” Elle l’avait regardé bien en face, remontant lentement jusqu’à ses yeux.
“T’as vraiment que ça à marchander ?”
Puis, sans attendre la réponse, elle avait baissé la main et pris sa queue énorme en main.
Sa paume glissait lentement sur la tige sombre, lourde, pulsante. Elle devait serrer pour garder le rythme. Dingodile grognait, la queue tendue comme une arme thermique. Coco, concentrée, faisait le boulot. Ni empressement, ni dégoût. Juste une branlette bien menée, les yeux levés vers lui, comme pour dire “Regarde comment on négocie.”
L’éjaculation jaillit d’un coup, visqueuse, contre sa hanche. Elle recule d’un pas, observe la tache sur son jean, hausse les épaules. Dingodile lui tend une caisse de gemmes.
“Bien négocié, princesse.”
Coco claque la langue. “J’aurais pu demander plus.”
Dingodile was lounging in the sun, his crate-griller running, balls out like it was nothing. Coco wanted access to the gems behind him. He shrugged: “You know what I want, sweetheart.” She stared straight at him, eyes climbing slowly up his chest.
“That all you’ve got to trade?”
Then, without waiting for an answer, her hand dropped and wrapped around his oversized cock.
Her palm moved slowly over the dark, heavy shaft. She had to squeeze a bit to keep control. Dingodile growled, the cock pulsing like a hot coil. Coco stayed focused, not rushed, not disgusted. Just stroking with purpose, eyes locked on him like, “Watch how a deal gets done.”
The cum hit her hip hard, thick and fast. She stepped back, looked at the stain on her jeans, shrugged. Dingodile handed her a gem crate.
“Well bargained, princess.”
Coco clicked her tongue. “Could’ve asked for more.”