Le froid avait tout figé, sauf lui. Coco s’était approchée, les bras croisés, attendant la consigne. Le chercheur ne parlait pas. Il avait juste sorti sa queue, droite, nue, et désignée la zone d’essai. Elle avait hoché la tête, s’agenouillant lentement. Ce n’était pas la première fois qu’elle participait à une mesure. Et ce jour-là, elle devait absorber une éjaculation humaine en environnement gelé.
Elle s’était mise au travail, calmement. Sa bouche avait glissé autour du sexe, précise, lente. Pas de jeu. Pas de sons. Juste une prise ferme, régulière. Elle suçait pour obtenir un résultat, pas pour séduire. Ses doigts contrôlaient la base. Sa langue guidait l’intensité. Elle n’avait même pas cligné des yeux.
L’éjaculation avait eu lieu. Forte. Directe. Le sperme coulait de ses lèvres, encore tiède, marquant son menton et sa main. Coco restait là, yeux mi-clos, le souffle régulier. Puis elle murmura, presque pour elle-même :
“1,2 degrés. Pas suffisant.”
Elle se releva sans un mot et repartit dans la neige.
The cold had frozen everything — except him. Coco stepped forward, arms crossed, waiting for instructions. The researcher didn’t speak. He just pulled out his cock, upright, bare, and pointed to the testing zone. She nodded, kneeling slowly. This wasn’t her first measurement. Today, she had to receive a human ejaculation in a frozen environment.
She got to work, calmly. Her mouth slid over the shaft, precise, slow. No play. No sound. Just a steady grip. She sucked to get results, not to arouse. Her fingers held the base. Her tongue controlled the depth. She didn’t even blink.
The ejaculation hit hard. Direct. The cum dripped from her lips, still warm, streaking her chin and hand. Coco stayed there, eyes half-closed, breath steady. Then she murmured, mostly to herself:
“1.2 degrees. Not enough.”
She stood up without a word and walked back into the snow.