La nuit était douce. Tawna avait trouvé un coin paisible au milieu du bois, éclairé par quelques lanternes et les cris lointains des oiseaux de l’île. Elle avait posé son sac, tiré une caisse pour s’asseoir… et sans prévenir, un sexe en avait jailli. Droit. Humain. Charnu. Elle n’avait même pas sursauté. Juste appuyé sa joue contre sa main, l’air blasé, le regard fixé dessus.
Elle l’observait en silence. Comme on regarde une bête étrange. Elle se pencha légèrement, narines frémissantes. L’odeur n’était pas désagréable, mais elle n’en pensait rien. Elle souffla un peu dessus, juste pour voir si ça réagissait. Puis leva les yeux vers la lune, lasse. “Bon… t’as l’air de pas vouloir partir, hein ?” Elle referma sa main sur la base, lentement.
Un va-et-vient. Deux. C’était suffisant. Le sexe tressaillit. Elle éloigna un peu la caisse et le laissa gicler dans le vide, sans émotion. Quelques gouttes tombèrent sur le bois. Tawna soupira, se redressa, et reprit son sac.
“J’vous jure. Même les caisses veulent se faire branler maintenant.”
The night was calm. Tawna had found a peaceful spot in the woods, lit by lanterns and distant bird cries. She dropped her bag, dragged over a crate to sit on… and without warning, a cock popped out. Hard. Human. Thick. She didn’t even flinch. Just rested her cheek on her hand, eyes fixed, looking unimpressed.
She watched it silently. Like some odd creature. Leaned in slightly, nostrils twitching. The smell wasn’t bad — not much to say about it. She blew on it once, just to test. Then looked up at the moon and sighed. “Not leaving, huh?” Her hand closed around the base. Slowly.
One stroke. Two. That was enough. The cock twitched. She nudged the crate back and let it cum into the open air, unmoved. A few drops hit the wood. Tawna sighed, stood up, grabbed her bag.
“Swear to god… even the crates want handjobs now.”