Piège à la con / Dumb Trap

Tawna Carlotti image24 censurée

Tawna était tombée sur un tas de caisses en plein milieu d’un ponton déserté. Trop bien alignées. Trop silencieuses. Elle s’était arrêtée, une main sur la hanche. “Piège.” Elle connaissait ça. Embuscade typique. Elle avait avancé d’un pas, prête à frapper. Mais au lieu d’ennemis, ce furent deux sexes qui jaillirent à hauteur d’homme. Grosseur réaliste. Teint humain. Impossible de confondre. Elle avait reculé d’un pas, surprise. Puis elle avait plissé les yeux. “Des bites humaines, vraiment ? Vous voulez jouer à ça ?”

Elle n’avait pas hésité longtemps. Elle se plaça entre les caisses, les jambes légèrement écartées, et attrapa les deux verges sans douceur. Ses gants glissèrent contre la peau chaude, et ses doigts commencèrent à presser. Elle branlait les deux en alternance, calait son rythme, puis se pencha légèrement. Sa bouche se referma sur l’un, puis sur l’autre, sans jamais relâcher sa prise. Elle suçait avec méthode, avalait un peu, s’aidait de la langue. Les corps derrière les caisses bougeaient à peine. Ils subissaient.

Quand elle sentit les spasmes venir, elle accéléra d’un coup, sans prévenir. Les deux sexes jaillirent presque en même temps. Elle prit tout en pleine figure, sans broncher : le front, le nez, la bouche, la gorge. Un filet pendait même de sa mèche. Elle relâcha les deux queues, les secoua légèrement, puis fit un pas en arrière. Elle essuya sa joue du revers de la main, haussa les épaules, et s’éloigna sans un mot. Pas besoin d’en dire plus. Elle les avait vidés. Et c’était tout ce qu’ils méritaient.

Tawna came across a pile of crates in the middle of an empty dock. Too neat. Too quiet. She stopped, hand on her hip. “Trap,” she muttered. She’d seen plenty. Ambush 101. She stepped forward, ready to strike. But instead of enemies, two human cocks burst out at head level. Realistic size. Realistic skin. No mistaking it. She stepped back for half a second, surprised. Then narrowed her eyes. “Human dicks? Seriously? You wanna play that game?”

She didn’t hesitate long. Took her stance between the crates, legs apart, and grabbed both shafts without gentleness. Her gloves slid over the warm skin, fingers pressing firmly. She stroked them in turns, syncing the rhythm, then leaned in. Her lips wrapped around one, then the other, never letting go. She sucked methodically, taking some in, swirling her tongue. The bodies behind the crates barely moved. She was in charge. They were just holes.

When the spasms hit, she sped up instantly. No warning. Both cocks erupted almost at once. She took it full in the face — forehead, nose, mouth, throat. One string clung to her hair. She let go, gave each a flick, stepped back. Wiped her cheek with the back of her glove, shrugged, and walked away without a word. Nothing else needed. She emptied them. That was enough.

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